Diptyque 5.2

Les sessions du diptyque se bousculent. A peine l'une terminée qu'il faut déjà en aborder une autre. Alors pour cette nouvelle session

1. le texte à illustrer est aujourd'hui extrait d'un très joli billet de Marloute

Encore maintenant, quand je le croise le matin, qu’il se lave les dents ou prend son petit déjeuner, je ne peux pas m’empêcher de le faire rire. Une grimace, une imitation, une posture ridicule. Ses gloussements me réchauffent le cœur. Alors, je pars travailler avec le son de son rire dans un coin de ma tête.

Vous pouvez utiliser tous les médias à votre convenance : photo, video, dessin, etc.

2. La photo dont il faut inventer l'histoire a été prise par un de mes anciens étudiants, Jonas Cuénin, qui travaille et vit pour le moment à New York et dont les clichés m'enchantent. Qu'ils soient pris aux hasard des rues ou lors de séances de portraits. Ce petit-là, si les cochons ne le mangent pas, il ira loin… (il revient de loin aussi, mais c'est une autre histoire :-)

Je n'ai qu'un mot à dire : lâchez-vous (et créditez la photo et faisant le lien vers son site).

Je posterai le récapitulatif de la précédente dès que je rentre de Paris dans ma salle de jeux