Alchimie particulière, par Otir
Par Akynou le lundi 17 mai 2010, 00:02 - Diptyque 5.2 - Lien permanent
Encore maintenant, quand je le croise le matin, qu’il se lave les dents ou prend son petit déjeuner, je ne peux pas m’empêcher de le faire rire. Une grimace, une imitation, une posture ridicule. Ses gloussements me réchauffent le cœur. Alors, je pars travailler avec le son de son rire dans un coin de ma tête.