La nostalgie du cow-boy !, par Julio

En cherchent des informations pour écrire mon histoire, ça m'a propulsé en Espagne et au Mexique chez les vaqueros. En fait, les cow-boys était des hispaniques et des noirs affranchis. Mais comme j’avais inventé une histoire je vais vous la raconter.
Washington  1929
Le petit Robert : Maman ! Maman ! Papi est complètement ivre, il est tombé dans la cour.
Maryline la maman : Papa ! ou étais-tu passé ? Encore a traîner avec tes vieux copains au bar !
Josef le grand-père : Fichez-moi la paix. Si ta mère était de ce monde, tu n’oserais pas me parler de cette façon. Occupe-toi plutôt de ton imbécile de mari.
Maryline : Papa arrête d’agresser toujours mon mari. C'est lui qui nous donne a manger et grâce à lui, nous avons une position sociale avantageuse.
Josef : Quoi ? Que dis-tu ? Ce con de chez Wall-street ! Si on n’avais pas vendu la maison de ta mère, il ne serait qu'un minable. C'est un imbécile a cravate !
Le petit Robert : Maman ! Le papi il nous fait la honte. L’autre jour, à l’école, les enfants ils se sont moqué de moi, il dise que mon grand-père et un menteur et un ivrogne.
Josef : Non petit, le grand -père, il veut juste vous protèger. Je ne suis pas un menteur. Je bois un peu trop parfois, mais je ne suis pas un ivrogne.
Le petit Robert : Menteur ! Menteur, t'as jamais été un cow-boy !
Maryline : Tu es fière de toi, de raconter tes bêtise à Robert !

Le grand-père ne dit plus rien et monte dans sa chambre, puis il grimpe au grenier et il fait du bruit en déplacent une grosse malle.

Maryline : Robert, vas chercher ton papi. Dis lui que ton père va rentrer et qu’il descende pour le dîner.
Robert : Papi ! Maman te demande de descendre dîner.
Josef : Dis à ma fille que se soir, je ne soupe pas avec vous. Je me prépare pour partir chez moi.
Robert : Papi, c'est quoi la malle ! Que caches-tu là ?
Josef : Rien, des vieux trucs à moi et à ta mamie. Mais allez, va dîner.

Le mari rentre du boulot, et annonce la catastrophe la bourse à plonger et ils sont ruiné ! Comment expliquer à Maryline et à Robert qu’ils ont tout perdu ? Josef descend de sa chambre accoutré en cow-boy, avec sont colt a la ceinture, ses éperons, sa winchester, sa selle et sont lasso…

Maryline, Robert et le mari de Marilyne : Mais qu'est-ce qui arrive au papi. Il est devenu fou ?
Josef : Non je ne suis pas fou. J’ai appelé mes copains Pedro et Nelson. Nous repartons sur la route du far-west, comme au bon vieux temps des cow-boys.
Maryline et Robert : Attend-nous, ont vient avec toi.
Le mari : Et moi aussi.
Josef : Tu conduiras la charrette avec les mules. Ça te permettra d’avoir la tentation de nous voler et de prendre la fuite. Et moi de te balancer un coup de pétard connard !
Maryline : Papa ou allons nous.
Josef : En Californie a Sacramento d’où je viens !

Ceci est la participation de Julio au diptyque 5.4, l'histoire de la photo de Michel Clair